mardi 31 octobre 2023

Le charlatanisme de Mme Langellier Langelliar 8 : les 6 phases d'une déséquilibrée dangereuse

Phase 1 : Langellier insulte, diffame, calomnie, vole et s'approprie le travail des autres

Phase 2 : Langellier recommence phase 1 en attendant une réaction

Phase 3 : si toujours aucune réaction, Langellier sort l'artillerie lourde, insulte aussi la famille, publie des photos privées et volées, s'attaque à l'activité professionnelle prête à tout  sans aucune limite

Phase 4 : Dès qu'il y a une réaction, parfois après plusieurs années d'attaques quasi-quotidienne, Langellier nie tout en bloc même l'évidence et indique être harcelée. Langellier se fait passer pour une pauvre victime

Phase 5 : Pour se faire oublier, Langellier publie des articles dérivatifs insipides

Phase 6 : Après une pause, Langellier recommence la Phase 1

 


 

Ci-dessous, des extraits de l'autobiographie de Langellier décrivant sa plongée dans le monde de la folie :

Mais ma paranoïa ne s’est pas arrêtée là.
J’ai des hallucinations auditives : je suis persuadée d’entendre « Je vais la tuer » par la fille du voisin du dessus.

Je suis internée à la demande du maire. Une H.O. Hospitalisation d’Office. Via le préfet. Une H.O. avec mesure de contrainte.
Je reste des heures aux urgences. Puis, après un scanner de la tête et avoir ingurgité un valium, on me met en cellule d’isolement.
Oui vous lisez bien : en cellule d’isolement.
Alors que je suis extrêmement calme et que je profite de ce stop pour dormir (j’en ai du sommeil à rattraper !)
Quand je me réveille en cellule d’isolement, trois psychiatres se penchent (physiquement) sur mon cas.
Je vais intégrer le module. Puis la psychiatrie ouverte.
Pour deux mois.
Là on me drogue littéralement. Car pour eux, c’est sûr, je suis bipolaire ( ???)
Il fallait bien vite me ranger dans une petite case.
Quand je sors enfin de l’hôpital, on me laisse conduire ma voiture seule pour rentrer chez moi. Où personne ne m’attend.
Où il y a un bordel incroyable, car j’ai souffert du syndrome de Diogène.
Où je n’ai pas même de quoi diner le soir.
La suite, on la connait. Je l’ai déjà racontée dans « Résurrection ».
Le 7 juin dernier, je suis sortie de l’hôpital de La Musse….
Où on a tout fait pour me faire marcher à nouveau.
Et là j’ai eu la surprise d’entendre un ragot monstrueux : « J’avais menacé ma voisine d’en face avec un couteau de 43 cm ».
Et tenez-vous bien ce ragot là je le dois à la plus grande catho de la rue des Grenets, à deux pas de chez moi !
Evidemment que je n’ai jamais menacé personne ! Pour la bonne et unique raison que j’avais peur.

Et puis il y a eu l’épisode du juge.
Le juge des libertés et de l’application des peines (le JAP).
Je suis allée à Chartres le voir en ambulance avec une infirmière et un aide-soignant.
C’était un vendredi.
On m’a présenté mon avocate (ravissante). Puis je suis passée devant le juge.
Là je me souviens très bien lui avoir dit qu’il avait un beau titre « juge des libertés ». Et qu’il m’a rétorqué que le titre complet comprenait aussi « l’application des peines ».
Je lui ai également dit que c’était la première fois que je voyais un juge en chair et en os. Car, dans l’affaire Seznec, sur mon blog, j’en croisais beaucoup… De juges…
Je ne sais pas ce que tout ça a déclenché mais je me suis retrouvée le soir même en Psychiatrie.

Je ne trouve plus mon dossier de psychiatrie mais je me souviens très bien qu’il y était écrit : «
Plainte du voisinage » et aussi « Peur de complot contre les journalistes ».
Je vais essayer de m’en procurer un double de ce foutu dossier, car – mettez-vous un peu à ma place
– je voudrais bien savoir pourquoi j’ai été internée ?

  • Bouffée Délirante Aiguë (BDA) pour certains…
  • Délire de bipolarité (bien que je n’ai aucun symptôme de névrose maniaco dépressive) pour d’autres…
  • Burn out avec perte du sens du réel…
  • Dépression avec décompensation…
  • Troubles psychiques dus à un dysfonctionnement de la thyroïde…
  • AVC frontal non décelable à la radio…
    Personne ne sait me dire !
    Personne ne sait mettre un nom sur ce délire avec perte du sens du réel…
    Alors…
    Comme tout ce qui n’est pas nommé…
    Les gens se vautrent juste dans cette faille…
    Et ne manquent pas de répéter : « Elle a été internée ».
    Reste juste à franchir le pas ultime…
    Et à me surnommer « La folle »….

 

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