Mme Langellier pense être une autorité morale suffisante pour condamner "à jamais l'auteur des lignes en rouge de ce début d'article sera l'Adolfo Ramirez de l'affaire Seznec". Même si Langellier est une idiote acharnée, son état psychiatrique détérioré ne lui permet plus au mieux qu'un discernement altéré. J'ai bien peur que nous assistions à sa propre déchéance. Partie de nulle part, elle est revenue à son point de départ.
Cela me rappelle une anecdote sur mon grand-père, Roger Vilain. Les gendarmes vers 1942-1943 à Clermont-Ferrand avaient organisé des groupes de résistants. Mon grand-père était spécialiste du sabotage des véhicules de la Gendarmerie. Quand ils devaient partir en mission contre les maquis, les juifs ou d'autres actions qu'ils réprouvaient, les véhicules tombaient régulièrement en panne ou ils se perdaient dans la campagne. La hiérarchie était très compréhensive et couvraient les actes de sabotage, quand elle ne l'organisait pas. Les boches n'étaient pas dupes. Mon père se souvient "Mais les allemands décidèrent de frapper un grand coup, en arrêtant tous les gendarmes de l’unité. J’en ai gardé un souvenir très précis. C’était à la fin du repas de midi : il devait être aux environs de 13h : un peloton de soldats allemands débarque dans la cour de l’immeuble, et par groupes de 2, ils investissent tous les appartements .Sans violences je le reconnais ils s’emparent de papa, et s’en vont. Avec maman nous nous mettons à la fenêtre et voyons le père mais aussi les autres gendarmes partir encadrés par les allemands fusil à l’épaule. Pour un gosse d’une dizaine d’années c’est très impressionnant.et douloureux .. Quelques 48h après tous les gendarmes furent remis en liberté, sauf 2 ou 3 qu’on n’a jamais revus."
Une des missions des gendarmes dans la résistance était de prévenir les juifs qu'ils allaient être arrêtés. Un soir, mon grand-père rentre dans l'appartement avec un bijou qu'il donne à ses enfants. Ce bijou lui avait été offert par un juif reconnaissant. Mon grand-père avait accepté le cadeau pensant qu'il était sans valeur marchande. Plus tard, ma famille réalisa que ce bijou était en or. Ce juif dont on ne connaitra jamais le nom avait donné probablement ce qu'il avait de plus beau. Ce dernier n'a probablement jamais connu le nom du gendarme qui au risque de finir devant un peloton d'exécution l'avait sauvé, au moins temporairement, de ses persécuteurs.
Roger Vilain a été décoré de la médaille Militaire, de la croix de guerre 1939-1945 avec palme
Il faudra que je fasse des recherches complémentaires sur les vagues d'arrestations dans la gendarmerie vers 1943.
Je conseille de regarder à nouveau le film de Melville, l'armée des ombres, tiré du livre de Joseph Kessel. Il faut revenir aux fondamentaux et à ceux qui ont fait la France en risquant leur vie. Quand aujourd'hui, une partie de la gauche, la Nupette, ainsi que des individus issus de l'immigration récente qui n'ont jamais rien fait pour la France se rapprochent sans vergogne de thèses nazies, je pense qu'il est temps de remettre les choses à l'endroit.
L'armée des ombres
A suivre...
Langellier chialotte qu'elle est harcelée, que c'est la Haine contre elle et "qu'il est donc possible que son blog soit supprimé". En effet, je confirme que les activités délictuelles de cette personne sont actuellement en investigation par Overblog. Pour terminer, je n'ai pas de haine contre un goéland qui me chie dessus, une fois. Quand cela devient une habitude, je sors la 22 LR et j'en fais des plumes pour édredon.
A nouveau, Langellier écrit sur son blog :
"Rappel Vilain :
Précision : on peut avoir eu un grand-père résistant WW2 et un père remarquable et être soi-même un immense salaud.
La bravoure et la bonté ne sont hélas pas héréditaires..."
Langellier raisonne (ou résonne) mais creux. En effet, avoir un grand-père résistant ne fait pas de soi un brave. Par contre, comparer qui que ce soit au Ramirez de la Gestapo Française fait bien de Langellier une immense salope.
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